Les experts en sciences médicales soutiennent fermement la relation entre le sommeil et la santé. Pourtant dans un monde aux rythmes stres-s -ouflage des écrans et des vitesse de la vie, on ne pense plus beaucoup à la qualité du sommeil. Ce déséquilibre peut avoir des conséquences assurément sévères sur la fragilité du corps aux agressions extérieures, même d’origine virale. Comprendre comment le sommeil réparateur affecte les défenses immunitaires améliore la mise en œuvre d’actions cruciales mais simples pour une meilleure santé et un meilleur bien-être.
Le sommeil : un allié naturel du système immunitaire
Votre corps n’est pas en repos passif, même pendant le sommeil. Un grand nombre de fonctions essentielles se forcent à la remise en forme des tissus, équilibre hormones, surtout comme augmenter l’immunité. Le système immunitaire, qui est celui qui est essentiel le rôle d’identifier et de neutraliser les agents pathogènes est en grande partie dépendant de la régularité et de la profondeur du sommeil.
Des études cliniques révèlent que les épisodes d’insomnie, ou les réductions de la durée du sommeil ou du nombre de cycles, diminuent la production d’interleukines, des protéines essentielles à la communication entre les cellules immunitaires. Au contraire, un sommeil de qualité pour la fonction immunitaire est renforcée, la mémoire immunitaire, en d’autres termes la capacité du corps à remercier de virus déjà rencontrés afin de mieux les combattre.
Impact du manque de sommeil sur les infections virales
Les virus comme la grippe ou les coronavirus attaquent le cerveau et réagissent fortement au système immunitaire de l’hôte. Le manque de sommeil nuit non seulement à la réponse immunitaire initiale, mais aussi au système adaptatif. La médecine précise que même après une vaccination ou une exposition antérieure, la réponse immunitaire sera moins efficace chez une personne fatiguée.
Un sommeil de mauvaise qualité a également été associé à une augmentation de l’activité inflammatoire, à une récupération plus lente après une infection et à une réponse plus modérée aux traitements antiviraux. C’est pourquoi un bon sommeil n’est pas seulement une question de confort ; c’est une question de santé publique.
Comment favoriser un sommeil bénéfique à l’immunité ?
- Régularité de l’horaire de sommeil équivalent : La régularité des heures de sommeil et de réveil simultanées aide à réinitialiser les comportements de sommeil internes perturbés.
- Lumière naturelle du jour : Éveille la production de mélatonine la nuit, l’hormone du sommeil.
- Réduction des heures d’écrans avant le coucher: Les lumières bleues rendent éveil.
- Temperature de la chambre : Un endroit refroidi (environ 18 °C) reste nous favorise les sommeils profonds.
- Frapper la chicane : Le caféine, nicotine ou alcool peuvent jeter la qualité du sommeil.
Ces bonnes pratiques peuvent, si nécessaire, être complétées par des solutions naturelles, telles que des infusions apaisantes ou des techniques de relaxation.
Sommeil et prévention active : un tandem efficace
Dans le cadre de cette forte circulation virale actuelle, renforcer sa défense naturelle constitue une très bonne stratégie préventive . A côté des gestes barrières et la chaîne alimentaire, le sommeil se place comme un maillon de base. Il permet de moindre les risques d’infection et durée des symptômes, s’ils apparaissent tout de même, durée et intensité.
La prévention des infections virales ne repose donc pas que sur des facteurs externes mais aussi sur le confort de celui que l’on a et que l’on a de son système immunitaire. Un sommeil de qualité permet de faire du bouclier invisible pour système quand vous vous endormez.
Adapter son mode de vie pour un meilleur sommeil
Cela ne se limite pas à des heures de repos supplémentaires ; il faut ajouter une heure de repos par nuit. La qualité du sommeil est liée à de nombreux facteurs comportementaux et environnementaux.
Mieux comprendre ses besoins en sommeil, améliorer ses habitudes, choisir un bon matelas, créer un environnement propice au calme ou identifier les causes des troubles du sommeil (tensions, douleurs chroniques, mauvaise alimentation) constituent autant d’éléments qui contribuent à une approche plus globale. Les bénéfices ne sont pas exhaustifs : plus d’énergie, une meilleure concentration et une meilleure résistance aux virus.
Conclusion
Un bon sommeil profond, stable et bien structuré est à la fois de la prévention des maladies auses infectieuses. En pratiquant une hygiène de vie bénéfique au repos réparateur, on peut aussi utiliser naturellement maximiser l’immunité de l’personne.
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